je m’interroge sur les avis et les réseaux sociaux concernant notre métier car on constate de + en + de dérives malsaines par des gens mal intentionnés qui nous allument de manière non justifiée via avis/réseaux sociaux, à l’inverse les gens satisfaits et honnêtes s’expriment trop peu…

Julien, gérant.

Ce que je recommande très simplement à toutes les entreprises qui démarrent une démarche de maitrise de leur e-reputation :

1 – mettre en place un outil de veille

• Google Alertes : outil gratuit de Google permettant d’avoir une alerte mail quand votre nom apparait dans l’indexe du moteur de recherche ;
• Sindup : outil de veille payant, français, qui surveille votre nom de marque sur internet et les réseaux sociaux ;
• Mention : outil de veille payant, américain, qui surveille votre nom de marque sur internet et les réseaux sociaux et permet d’y répondre (mon préféré).

2 – répondre à tous les avis, positifs et négatifs

En cas d’avis positif, remercier l’internaute pour son expérience en l’invitant à la renouveler.

En cas d’avis négatif, 2 cas :

• si avis négatif diffamatoire (arnaque, escroc, etc), c’est du juridique, vous pouvez faire une mise en demeur de l’internaute si vous connaissez son identité, ou de l’éditeur du site internet (qui est responsable du contenu publié sur son site internet ;
• site avis négatif autre (promesse non tenue, pas de réponse, retard, mauvaise qualité, etc.) systématiquement y répondre publiquement en disant que vous avez pris contact en privé avec cette personne pour comprendre le dossier et apporter une réponse qui, dans la demeure du possible, donnera satisfaction.

3 – récolter des avis positifs

Plutôt qu’être passif, il vaut mieux être actif. De nombreuses plateformes permettent de collecter des avis auprès de vos clients. Ils sont ensuite relayés sur les différentes de diffusion (votre site internet via un widget, réseaux sociaux, sites d’avis en ligne, etc.).

Certaines plateformes sont des spécialités métier (e-commerce, tourisme, batiment). On peut citer parmis eux : avis vérifiés, guest suite ou immodvisor. Toutes ces plateformes sont payantes avec un abonnement.

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Le recettage en preprod se passe bien, le Magento est bien plus rapide, le client recette également, tout va bien, on passe en production !

Sauf que surprise et problème non négligeable, on se rend compte rapidement que le calcul de la TVA n’est plus bon dans le panier. Le total TTC s’affiche en HT.

Après une brève recherche, les Magento 1.9 (et versions antérieures) ne sont pas 100 % compatibles avec PHP 7. Cela provoque notamment un bug de calcul de taxes.

Si vous êtes dans ce problème, deux solutions :

• Magento a mis en ligne un patch officiel pour rendre la version 1.9 compatible PHP 7.2.
• Un patch non officiel existe pour Magento 1.9.2.2 – 1.9.2.4 qui s’applique sous la forme d’un module.

On a choisi la 2e solution, simple et efficace. Après installation du module, on relance la compilation, on vide le cache et on constate que tout fonctionne !

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Symptômes : le Magento 1.9 est connecté à un ERP Odoo. A chaque fois qu’il y avait une synchronisation de produits, le côté « front » du Magento moulinait pendant de nombreuses secondes. Même problème lorsque, par exemple, on supprimait une dizaine de produits d’un coup côté back Magento, le front se mettait à mouliner grave. 

On regarde donc le cache, les logs, etc. et on se rend compte qu’il y a un problème de « slow queries » (ou requêtes lentes) détectables via les logs. (Vous pouvez les demander à votre hébergeur).

Après quelques recherches sur le web, il s’avère que MySQL 5.7 n’utilise plus les indexes ce qui provoque de grosses lenteurs au niveau des requêtes SQL qu’utilise Magento. La solution serait alors de repasser en MySQL 5.5 ou 5.6 mais on perd alors tout l’intérêt d’avoir une version 5.7 à jour, plus performante…

Heureusement, il existe un fix sur github qui consiste à modifier le contenu du fichier 

    magento-lts/app/code/core/Mage/Catalog/Helper/Category/Url/Rewrite.php

Par le contenu se trouvant dans l’url du Github https://github.com/macopedia/magento-lts/blob/92ba41c620154ab5b617554f10cab29d593c5ee5/app/code/core/Mage/Catalog/Helper/Category/Url/Rewrite.php

Testé et approuvé !

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Vous aussi vous avez un graphique « plat » ou « vide » dans le module Prévisions (ou dashgoals forecast) de Prestashop 1.7. C’est parce qu’il s’agit d’un portage du module Prestashop 1.6 et qu’il y a une modification à faire dans le code du module. Je n’ai pas invité la solution, elle a été donnée depuis mars 2019 sur le Github Prestashop mais le correctif n’a pas été publié à ce jour. Merci au contributeur CurciRoberto. Ce correctif semble fonctionner sur toutes les version de Prestashop 1.7.

1. Ouvrez le fichier /modules/dashgoals/dashgoals.php ;
2. Recherchez ConfigurationKPI et remplacez par Configuration ;
3. Sauvegardez ;
4. Dans le back Prestashop, désactivez le module Tableau de bord des objectifs. Réactivez-le.

En attendant le correctif officiel, cela vous fera gagner du temps !

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En effet, lors de l’installation de wkhtmltopdf 0.12 pour Debian 9, celui-ci demande l’installation du paquet libjpeg-turbo8 et libssl 1.0.0… qui n’existent plus sur Debian 9 ! Normal ils sont dépréciés.

Après 1001 essais, la solution finalement toute simple consiste à installer wkhtmltopdf pour Debian 8 jessie, sur votre Debian 9 stretch, en installant préalablement les paquets libssl et libpng manuellement (wget puis dpkg -i).

Dans l’ordre :

1. apt-get remove wkhtmltopdf –purge (pour désinstaller la version de wkhtmltopdf que vous auriez installé)
2. https://packages.debian.org/jessie/amd64/libssl1.0.0/download
3. https://packages.debian.org/wheezy/amd64/libpng12-0/download
4. https://github.com/wkhtmltopdf/wkhtmltopdf/releases/download/0.12.2.1/wkhtmltox-0.12.2.1_linux-jessie-amd64.deb

Si tout s’est bien passé, un petit service odoo restart et vous aurez enfin des rapports pdf dans votre Odoo ! Dans le doute pensez aussi à aller voir les logs Odoo s’il n’y a pas un problème avec un autre paquet (par exemple il me manquait aussi le paquet python num2words).

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Chaque problématique rencontrée et solutionnée permet de mieux appréhender le prochain et de lever les loups dès le début du projet. Voici mes conseils.

Les nombreux avantages de synchroniser Prestashop à un ERP

Vous êtes e-commerçant ? Votre journée type, c’est de passer votre temps à faire du sourcing, remplir votre catalogue produits, faire des achats fournisseurs, répondre aux questions avant vente, gérer le SAV, gérer les expéditions (étiquetage), gérer les retours, le webmarketing, les réseaux sociaux, les promotions, les places de marché, les comparateurs de prix, faire vos exports vers la compta ou bien de la double saisie dans votre outil de gestion commerciale, faire du RH car vous  commencez à être nombreux, et j’en passe.

Et bien sachez qu’avec un Prestashop synchronisé avec un ERP, vous pouvez gagner énormément de temps par jour en évitant la double saisie. Vous arrêtez les tâches chronophages pour vous concentrer sur le développement de votre entreprise. De mon expérience, presque tous les e-commerçants sont concernés, que ce soit celui qui fait 10 commandes par jour à celui qui fait 500 000 € de CA par mois. Je peux le certifier, j’ai travaillé avec les deux.

Shynchro basique, simple

Pour commencer, le plus simple à mettre en place, c’est de récupérer vos commandes et vos clients, et de synchroniser les stocks entre votre logiciel de gestion et le Prestashop. Ainsi, vous récupérez toutes les infos de votre client qui est automatiquement créé dans votre outil ainsi que l’intégralité de sa commande (références, quantités commandées, etc). Les stocks sont aussi décrémentés du Prestashop.

Dans l’autre sens, dès que vous ajoutez des stocks dans votre logiciel de gestion, ceux-ci sont synchronisés avec votre Prestashop. Pour une gestion plus fine, vous pouvez faire un stock magasin et un stock web et selon vos besoins, vous ferez des mouvements de stocks entre vos deux entrepôts (qui peuvent être à la même adresse physique ou non).

Concernant les factures et bons de livraison, vous pouvez choisir soit de tout gérer dans votre Prestashop, soit de tout gérer dans votre logiciel de gestion, soit d’avoir un fonctionnement hybride dans le cas où vous faites de la vente au comptoir en plus du e-commerce. C’est du paramétrage et de l’organisation mais il faut y penser.

Synchro musclée

La synchronisation du catalogue produits, c’est probablement ce qu’il faut le plus anticiper et où il faut le plus d’expérience. Nom, référence, code EAN13, catégorie(s), descriptions, photos, poids, caractéristiques, attributs, prix, prix promos, prix selon des groupes clients… Autant vous dire que rare sont les logiciels de gestion qui ont tous ces éléments de bien renseignés et de façon homogène. Si vous pensez que c’est bien votre cas, félicitations !

Tous les éléments de produits ci-dessus ne sont pas obligatoires pour une synchronisation, on y va souvent en deux étapes. D’abord, on synchronise autant d’éléments de base que possible (titre, référence, prix, caractéristiques, poids) puis à chaque première création du produit, il faut repasser dessus pour l’associer aux bonnes catégories, retravailler la mise en forme de la description, mettre d’autres photos (et oui souvent dans les logiciels de gestion il n’y en a qu’une). Et oui, c’est du temps ! Mais c’est un travail que vous ferez une fois et qui vous fera gagner beaucoup de temps par la suite.

Les groupes clients, qui permettent généralement d’avoir des tarifs préférentiels pour des pros, peuvent aussi être synchronisés. Ainsi, quand votre catalogue est envoyé du logiciel de gestion vers Prestashop, vous pouvez synchroniser plusieurs prix par produit. Ces prix sont rattachés à des groupes clients. Une seule boutique pour les faire acheter tous !

Pour terminer la synchro dite « musclée », n’oublions par que le numéro de suivi de commande peut aussi être envoyé dans la commande Prestashop du client si jamais vous le générez ou saisissez directement dans votre logiciel de gestion.

Synchro « couillue »

La synchro que j’appelle couillue n’est pas obligatoire mais ce sont différents éléments qui, selon les projets rencontrés, ont dûs impérativement être synchronisés. Quelques exemples des possibilités :

• Visualisation stock en temps réel magasin : sur une page produit, nous allons grâce à l’API de l’ERP aller chercher une visualisation des stocks dans les magasins grâce à la référence du produit et le code boutique ;
• synchronisation des factures et bon de livraison : besoin de faire remonter les factures et les bons de livraison de l’ERP vers Prestashop (qui du coup ne génère plus ces éléments) ;
• synchronisation du TPE : normalement pour être dans la loi, vous devez débiter la carte de votre client à l’expédition. Dans ce cas, il faut faire une pré-capture du paiement au moment de la commande avec Prestashop et juste avant le moment de l’expédition avec l’ERP, vous débitez la carte bancaire du client.

Vous voyez d’autres besoins ? Libre à votre imagination !

Dernières questions à vous poser

Quelle version de Prestashop ? La version de Prestashop importe peu. Que ce soit de 1.5 à 1.7, l’API autorise de faire beaucoup de chose.

Quels modules sont compatibles ? Attention, si vous avez / souhaitez des modules complémentaires dans votre Prestashop. Il faudra bien vérifier la compatibilité de ceux-ci avant une synchro. Je pense par exemple aux modules de packs, de ventes croisées, points fidélité client, cartes cadeaux, etc.

Quel ERP / logiciel de gestion ? Attention de ne pas prendre un module ERP intégré. Cela peut sembler être une bonne idée au départ, moins onéreuse qu’un vrai logiciel de gestion, sauf que si votre entreprise se développe, il sera encore un peu plus difficile de migrer vers une autre solution (car souvent ces modules modifient le fonctionnement natif de Prestashop).

Par où commencer ? Attention à votre organisation d’entreprise et au choix de l’ERP (cf ci-dessus). Prévoyez aussi de la ressource humaine de votre côté car c’est un projet qui ne peut réussir que si toutes les parties du projet sont impliquées, impossible de déléguer 100 % de cette transformation à un prestataire externe.

Quel ERP choisir ?

Ça c’est une excellente question… à laquelle je répondrai dans un autre article Sinon vous pouvez aussi consulter la page ERP Prestashop / Odoo de mon entreprise digisuite.

PS : ERP c’est « enterprise resource planning » = « progiciel de gestion » en français.

L’article Connecter Prestashop à ERP : avantages, conseils et questions à se poser est apparu en premier sur Filluzeau Groupe.

La panne… subite !

Le Google Nexus 5 est un super téléphone. Fluide, pas de surcouche, maintenu par Google, etc. C’est pourquoi ce smartphone est le compagnon quotidien de ma femme depuis un peu plus de deux ans. Jamais maltraité, le Nexus 5 s’est coupé en pleine utilisation. Je tente alors de le démarrer en appuyant sur le bouton power. Impossible, le logo Google s’affiche puis le smartphone redémarre. Je le branche sur son chargeur, idem, le logo de chargement s’affiche puis le téléphone redémarre.

Ce qui est très embêtant dans l’histoire c’est qu’il est alors impossible de récupérer le contenu du smartphone (photos et vidéos) car il s’agit d’une mémoire interne qui devient alors inaccessible ! Snif !

Identification de la panne : le bouton power

Je fais alors le tour d’internet pour trouver une solution : forums, YouTube, blogs, etc. Certains disent qu’il faut le re-démarrer en mode « factory » pour faire un reset. Impossible dans mon cas, lors du démarrage en mode factory, le téléphone redémarre aussitôt. D’autres disent qu’il faut appuyer comme un malade sur le bouton power genre une centaine de fois. J’ai essayé aussi, rien ne change. Ultime test, de toute façon tout a déjà été essayé, certains recommandent de cogner la tranche du téléphone où il y a le bouton power sur une table pour le débloquer. A part risquer d’endommager encore plus le Nexus 5, cela ne changera rien.

J’ai bien sur contacté le SAV de Google, la garantie étant dépassée depuis quelques mois, il n’y a pas de prise en charge. Google recommande de l’envoyer à LG pour diagnostic et réparation (payant).

Ce qui revient quand même souvent sur internet, c’est ce fichu bouton power qui poserait problème. Donc, pourquoi ne pas creuser de ce côté-là ? Je démonte le Google Nexus 5, j’examine le bouton power qui en apparence est ok… Pas grave, je tente quand même de le remplacer, il n’y a plus rien à perdre.

Réparation du bouton power

Pour changer le bouton power qui pose problème sur le Nexus 5, il suffit d’en acheter un sur Amazon ou encore ebay. Cherchez « Power button Google Nexus 5 D820 D821 » et achetez le bouton qui ressemble à celui-ci dessous.

J’en aurai eu pour un peu plus de 8 € avec les frais de port.

Une fois le bouton power réceptionné quelques jours plus tard, c’est parti pour les grands travaux : démontage du Google Nexus 5, fer à souder, bobine d’étain, tresse à dessouder, multimètre.

Attention, je tiens à vous prévenir que si vous n’avez aucune expérience en soudure, l’opération est difficile voir impossible, cela demande expérience et minutie. Demandez à une connaissance adepte de la soudure ou à un professionnel de vous aider. Je ne suis pas responsable si suite à une mauvaise manipulation, votre Google Nexus 5 est définitivement HS ou bien si vous vous brûlez ;).

Avec le multimètre, on teste le bouton power déjà soudé sur le Google Nexus 5. Chose intéressante, que celui-ci soit physiquement enfoncé ou non, il fait toujours contact. C’est de là que vient la panne ! C’est pourquoi il faut remplacer le bouton défectueux par un neuf.

Il faut, avec précision, dessouder le bouton power existant. Cela peut être difficile car il est collé et bien soudé. Il aura fallu insister dans mon cas en faisant attention de ne pas endommager la carte.

Une fois dessoudé, nettoyez bien le reste de soudure de l’ancien bouton. Vérifiez bien d’avoir les deux encoches pour remettre le nouveau bouton power. On replace ensuite le bouton power et là, il est préférable d’être deux personnes, pendant que l’un tient le bouton power avec une pince, l’autre fait la soudure. Autant dire que pour cette opération a dû prendre… Au moins 20 minutes. Cela demande de la précision.

A la fin de la soudure, on teste au multimètre si le bouton power est fonctionnel et surtout, s’il ne fait pas de court-circuit. Dans mon cas, c’est ok ! Si dans le vôtre c’est pas ok, vérifiez vos soudures.

On remonte le Google Nexus 5, on le branche sur le secteur et là, miracle, le Google Nexus 5 démarre !

Une panne récurrente et difficile à réparer

Après mes nombreuses recherches sur internet, je me suis rendu compte que le Google Nexus 5 n’est pas le seul smartphone touché par cette panne de bouton power. Les Samsung Galaxy S3 et S4, ainsi que d’autres smartphones également. En fait, tous ceux qui auraient le même type de bouton power que le Nexus 5.

Je tiens à préciser que cette opération vous fait perdre la garantie de votre smartphone et donc si celui-ci l’est encore, utilisez-la et ne vous lancez pas dans la réparation !

Je tiens enfin à remercier le magasin Télé Sables à Olonne-sur-Mer qui habituellement répare l’électroménager, la hi-fi et les TV. C’est la première fois qu’ils réparaient un smartphone à ma demande et c’est un succès ! Je n’aurai jamais eu la minutie, les outils et l’expérience pour ce genre de réparation. Bravo à eux !

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En effet, dans CDN GéoCache, il y a le mot cache. Cette technologie permet de mettre en cache les fichiers statiques de votre site internet comme le javascript, le CSS ou encore le PDF et les images. Or, si vous êtes habitués aux anciens mutualisés OVH et que vous n’arrivez plus, avec la nouvelle édition 2014, à voir vos modifications css ou javascript, cela vient de cette option.

Vous avez donc deux manières de vider le cache d’un mutualisé OVH 2014.

La première solution si votre site est en développement, est de modifier la ligne 8 dans le ficher .ovhconfig situé à la racine de l’hébergement mutualisé.

Passez environment=production à environment=development. Cette modification, qui met plusieurs minutes à prendre effet, désactive la mise en cache des fichiers statiques. Vous pouvez maintenant faire vos modifications sans vous soucier de la mise en cache par OVH. Dès que vous passerez votre projet web en production, n’oubliez pas de repasser cette ligne à environment=production.

La documentation du fichier .ovhconfig est visible ici : http://www.ovh.com/fr/g1175.format_du_point_ovhconfig

La seconde solution est d’aller directement purger le cacher depuis l’interface OVH Manager. Rendez-vous sur l’interface OVH de votre site web, puis dans hébergement. Dans Autres services, sélectionnez Gestion du CDN, puis dans la partie Videz le cache faites Valider.

Cette opération qui peut elle aussi prendre quelques minutes purgera le cache du CDN.

Si vous souhaitez en savoir plus, un guide complet du CDN GéoCache est disponible ici : http://www.ovh.com/fr/g1290.cdn-geocache

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